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VOYAGE VOYAGE - Page 69

  • Jour 7 Lafayette, nous voilà !

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    On reprend la 61 pour la Louisiane, direction LAFAYETTE et le pays cajun, que nous avons "frôlé" simplement depuis le début de notre voyage. Pour la première fois, nous allons dormir dans un B&B, au Bois des Chênes, où nos hôtes parlent en peu français. La chambre est sympa, mais un peu sombre.

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    Le centre ville est fermé pour cause de Festival International de la Louisiane, où nous irons ce soir. Nous avions prévu de visiter Saint-Martinviville et Abbeville et de passer à New Iberia dans deux jours. Mais pour cause de travaux, nous ratons la route et on se retrouve...à New Iberia. Je vous le fais à la Robicheaux. Le soleil est déjà haut dans le ciel quand nous garons notre voiture de location sur le parking du centre ville, à proximité du pont qui enjambe le Bayou Teche. L'air est chaud et la ville assoupie dans la douceur lourde de cette journée de printemps, même la mousse espagnole accrochée aux grandes arbres verts semble coulée dans cette torpeur. L'église est ouverte et une visite rapide suffit pour nous apercevoir qu'elle n'a rien d'extraordinaire. La chaleur du Sud nous tombe sur les épaules, alors on décide de nous replier dans un bar frais pour nous protéger des morsures du soleil de Louisiane. Mais New Iberia vit au ralenti, et c'est avec difficultés que nous trouvons un estaminet ouvert. Le Napoléon,dans la rue principale, ne paie pas de mine avec sa façade étriquée, et il faut vraiment pousser la porte pour être certain qu'il est ouvert, tant l'intérieur est sombre. Trois écrans géants muets, diffusent des programmes de sport différents, un couple lie conversation avec un habitué, tatoué des pieds à la tête, et revêtu de l'uniforme des hommes du Sud:casquette, tee-shirt de couleur vive, short descendant aux genoux et sandales. La serveuse ne comprend pas notre accent, aussi nous commandons une margarita. Pas de têtes d'huile ou de malfrats à l'horizon, alors on déguste à petite dose notre boisson avant de retrouver le bitume chaud comme un jambalaya qui aurait mijoté toute la nuit. On regagne notre véhicule, et après avoir enclenché le CD de Little Freddie King, et nous prenons la petite route pour Saint Martinville.

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    Si, si je suis content, mais pas photogénique !


    Le chêne d'Evangeline n'est pas le plus beau, mais il est le plus célèbre de la région, et le coin au bord du bayou est calme, frais et reposant. Dans le mini centre ville, nous apercevons une réception pour un mariage, les dames noires sont endimanchés, leurs hommes garent leur pick-up, et tous se retrouvent pour le cocktail dans une maison ancienne. On musarde un peu, mais il fait très chaud, et nous prenons la route de Lafayette via Breaux Bridges.

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    Elle est jolie ma petite française non?

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    Rapide passage dans la chambre et nous nous dirigeons vers le centre ville pour le festival. Depuis plusieurs jours, le coeur de la ville est livré aux festivaliers, et cette manifestation attire un monde fou, pas vraiment pour les spectacles de musique nombreux et variés mais plus pour se retrouver, manger et boire. Les stands vendent des tas de choses, mais on a du mal à apprécier debout des écrevisses boiled ou des ailes de poulet ou un jambalaya ! On se promène sur le site, et le spectacle est dans la rue. Les Américains ont tous un verre ou une bouteille à la mailn et dans l'autre ils tiennent un hamburger, un sandwich, ou tout autre denrés mangeable. On achète d'excellents petits pâtés à la viande épicée, puis on cherche un endroit pour s'assoir et boire un verre, sur Jefferson Street, on déniche une table au bar du Tsunami, pour déguster un cocktail (nous avons renoncé au vin et la bière).

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  • Jour 6 Natchez

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    On se réveille un peu tard afin de se remettre de la folle nuit, on sort prendre le On se réveille un peu tard afin de se remettre de la folle nuit, on sort prendre le breakfeast deux rues plus loin, le classique eggs and bacon avec café léger, puis on attaque la visite des superbes demeures de la ville, avec une halte prolongée à Longwood House, plus grande maison octogonale des USA, qui a la particularité de n’avoir jamais été terminée, pour cause de guerre de sécession. Étonnant de voir cette tour encore en chantier, et les matériaux de l’époque prêts pour l’emploi, mais inamovible pour l’éternité. On ne visite pas toutes les maisons, beaucoup sont d’ailleurs fermées et on décide de pousser à 15 miles dans une réserve naturelle St Catherine Creek, sauf que c’est une vraie réserve qui s’étend sur plus de 20 miles…On renonce, retour à Natchez, il est 15h30, on s’arrête dans un supermarché local pour acheter de quoi pique niquer au bord du Mississippi. Le jambon et le fromage se vendent en gros conditionnement, et nous avons des difficultés à trouver  moins de 12 tranches ! Une tablette de chocolat, un Dr Pepper (clin d’œil à Dave Robicheaux) et du pain de mie complètent le repas.

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    On trouve un joli banc qui surplombe le fleuve et on goûte. Le chocolat est infect, le jambon, industriel selon le bon mot de Catherine, le cheddar passable. Le Dr Pepper est un genre de coca encore plus médicamenteux, mais le charme de la ville et la vue sur le fleuve font largement oublier la médiocre qualité de ce repas.

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    Retour à l’hôtel, puis départ pour une promenade à pied, dans le « centre ville » à la découverte des maisons antebelum. Il est à peine 18 heures toutes les boutiques sont fermées et nous sommes les seuls piétons ! Pendant l’heure que durera notre balade, nous croiserons 2 ou 3 joggers, sinon tout le monde roule en voiture.

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    Mais Natchez est ville vraiment charmante, douce, même si la crise de l’immobilier est présente, avec de  nombreuses maisons «historiques» à vendre. L’air est chaud, une brise légère fait tanguer les branches des arbres majestueux qui cachent souvent une partie des façades des maisons.

    Douche réparatrice, et la nuit tombe doucement sur le pont qui enjambe le Mississippi, et c’est toujours un spectacle superbe de passer sur ces monstres de métal qui s’élèvent au dessus des eaux, et des bateaux qui remontent le faible courant et des lumières jaunes des usines pétrochimiques qui ressemblent à des villes.

    On dîne dans un restaurant de sea-food, le Sand Bar à Vidalia, côté Louisiane, mais on n’a pas vraiment faim, puis, promenade nocturne en dessous du pont maintenant illuminé.

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    On repasse "la frontière", dernier tour de ville, le bateau/casino est toujours ancré à côte du bar Under the Hill. C’est samedi soir en Amérique, mais nous allons nous coucher car demain…

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  • Jour 5 Mississippi Burning

    Réveil tranquille, j'envoie un message aux amis du forum blues, avant de partir vers le Nord, Natchez, on s'égare dans Bâton-Rouge et on se retrouve dans une rue en impasse, les maisons en bois, sont vraiment très pauvres, les habitants (que des noirs) sont dehors, l'autre côté de l'Amérique.

    Fidèles aux romans de James Lee Burke, nous faisons un détour sur la Highway 61, par la prison d'Angola, située carrément à la fin de la route. Un musée gratuit devant l'entrée de la prison, passionnant mais glaçant, avec la chaise électrique, les  armes fabriquées par les détenus, celles des matons et l'organisation d'un rodéo par et pour les prisonniers. Ce petit musée relate parfaitement l'histoire et la vie des prisons depuis le début du siècle, c'est vraiment très instructif. On achète quelques "souvenirs" dont un CD de Robert Pete Williams Im Blue As A Man Can Be Vol 1. et ses mots tristes et sa guitare plaintive nous accompagnent sur la route de Natchez.

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    Les armes confectionnées par les détenus

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    Un bluesman célèbre...

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    Une petite photo ?

    On aperçoit quelques troupeaux d'Angus, puis à l'heure du déjeuner on prend la sortie de Woodville, où ont vécu Audubon et Jefferson Davis, seule ville avant Natchez.Regardez les photos ! Retour dans les 50's ! Incroyable cette station service délabrée, ces boutiques d'un autre âge, à chaque coin de rue on s'attend à voir la diligence ou les Indiens. Et on ne trouve rien à manger !

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    Vous achetriez votre essence ici vous ?

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    Natchez, contrairement à la tentaculaire Baton-Rouge, est une petite ville écrasée de chaleur, avec un centre désert, on pose nos valises à l'hôtel, on veut déjeuner, mais trop tard, il est 14 heures. On reprend la voiture, et après quelques minutes, on repère un petit snack mexicain, Fat Mama's, hyper sympa, avec tacos, et salade, j'achète un super tee-shirt, hum cela fait du bien de manger, d'autant que nous avons depuis notre arrivée des horaires de repas fantasques, avec breakfeast copieux vers 10 heures, puis un truc vite fait quand on a faim vers 15 heures, et le soir, il ne faut pas louper les horaires des restaurants qui à partir de 21 heures commencent à refuser le client.

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    Un peu kitsch non?

    Après un tour rapide dans le centre, on descend le long du fleuve pour voir la maison de Huckleberry Finn, et on rentre boire un verre dans le bar juste à côté. Ce soir, musique live, nous y reviendrons. On se dirige vers les cimetières immenses et boisés au dessus de la ville et après une longue promenade, on redescent en admirant de jolies maisons. Nous dînons en terrasse avec vue sur le Mississippi et son pont qui marque la frontière entre la Louisiane et le Mississippi, puis vers 21 heures on entre dans Under the Hill le bar évoqué plus haut. Grande soirée ! Une plongée au coeur, dans le coeur de l'Amérique ! Le groupe entame son set, et le second morceau est Sweet Home Alabama, repris par toute la salle. Grand frisson, cette musique, celle que nous aimons, que nous écoutons en France depuis des années jouée dans un authentique bar américain, dans le Mississippi, j'en pleurerais de joie. Et la soirée continue, les gens dansent, Catherine a des fourmis dans les jambes, et elle est acceuilli par des hourras par les autre danseuses et quand elle dit qu'elle est française, et quand elle retire ses chaussures ! On se fait des copains, des copines, on eéchange, photos, facebook et on quitte le bar vers 1h30 du matin, heureux, c'est cette Amérique là, que nous sommes venus chercher, nous sommes comblés...et fatigués.

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                                              Catherine et ses copines de Natchez !

  • Jour 4 Bâton Rouge

    Cool ce matin. Peu de miles pour rejoindre notre prochaine étape, on prend le breakfeast dans NOTTAWAY, on rend la clef de la chambre, la prochaine visite de l'intérieur est à 14 heures, on décide de la zapper et on se fait une promenade sur les berges du Mississippi, avant de prendre la route pour la capitale de l'Etat, où nous arrivons par l'un de ses merveilleux ponts sur le fleuve qui font le paysage américain. BATON ROUGE est GIGANTESQUE, peu peuplé, 800 000 habitants dans l'agglomération, mais elle s'étend sur des dizaines de kilomètres, les rues n'en finissent pas et tout le monde circule en voiture.

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    Les levées qui protègent des crues mais cachent le fleuve

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    Nous arrivons à notre hôtel un peu en avance, et on patiente dans le hall, avant de rentrer dans une chambre toujours immense avec grande TV, lit etc...la routine. On pose nos bagages et nous partons pour le Capitole, et du 27ème étage du siège du Gouvernement de l'Etat nous avons une superbe vue sur la ville, avec son complexe pétrolier DANS la ville, à environ 1 mile du Capitole, on comprend mieux l'énorme poids économique de l'industrie pétrolière et le peu de remous suscités par la terrible marée noire de 2010 quand SHELL a mis des mois à boucher le puits de pétrole dans le Golfe du Mexique. A remarquer également le fonctionnement de la démocratie US. A part une fouille à l'entrée du bâtiment on peut se promener dans l'immeuble, il convient seulement d'avoir un badge pour accéder aux salles officielles. Il commence à faire très chaud, on repart voir une petite plantation, MAGNOLIA MOUND PLANTATION, qui est déjà fermée, mais on prend quelques photos, et on se dirige vers le Phil Brady un bar (recommandé par un forumeur de Bluesland). On passe devant deux fois sans le voir. Mais on y arrive. Le vrai bar américain, comme dans les bouquins de Burke ou Bukowski, sombre, en longueur, un comptoir en bois, Catherine demande un Southern Comfort, le barman ne comprend pas ! Obligé de l'écrire, Yeah ! Ici ils boivent tous de la Miller light avec son étiquette bleue, moi ce sera une Bud normale ! On discute avec le barman, enfin on crie par dessus Sweet Home Alabama, il nous dit que ce soir, c'est soirée billards et cartes, la musique live c'est le jeudi. En sortant, nous nous souvenons que nous n'avons pas mangé ce midi et il est...17 heures. On cherche et on aperçoit un panneau Crawfish boiled. Demi-tour et on entre dans le...rade. Un vrai. Tenu par des asiatiques, clientèle 100% noire. Un ancien supermarché recyclé, avec 60% de surface inutilisée. Ont été conservés, uniquement les bacs à surgelés, reconvertis en frigo géants, où les bières sont bien fraîches dans la glace. Bon et nos crawfish? C'est uniquement à emporter, mais super-chinois vendeur, nous en pèse 700grs dans un plastique, et le met dans une boîte en carton, vous pouvez vous asseoir ! On se déguste nos écrevisses bien épicées sous les regards des habitués, et c'est sacrément bon !

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    Retour à l'hôtel, douche....les restaurants proposés sur le Proutard ne nous conviennent pas, aussi je regarde sur Internet, en voici un le PARRAIN'S qui semble sympa et pas trop loin...Sympa sur, pas trop loin, bof, une douzaine de miles ! Coincé dans une zone commerciale, l'highway passe au dessus, mais le décor d'ancienne station service est sympa, et une file d'attente imposante semble attester que l'endroit est de qualité (quoique on est aux USA !). On nous remet un bipper pour nous contacter quand une table se libèrera. Dix minutes plus tard nous sommes installés. Restaurant de fuits de mer, c'est bon (je redis que les portions sont énormes ou vous avez compris?). On s'aperçoit que la plupart des convives mangent très vite et repartent tous avec des box (doggy bag) énormes, alors que nous, on prend le temps de manger peinard. Retour à l'hôtel par les longues avenues toutes droites et interminables. 

     

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  • Jour 3 On the Road Again La Route des Plantations

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    On démarre par un breakfeast au Camelia, un grand moment, tous les convives sont attablés autour des serveurs qui font un vrai show; le notre lance les commandes : one coffee sir, one egg with becon sir etc...eau glacé, café clairet, mais les pancakes sont ENORMES et EPAIS, tout est d'ailleurs plus grand ici, surtout les portions.

    Visite du Musée de la Pharmacie on profite qu'il vient d"ouvrir, dommage que l'appareil photo soit resté à l'hôtel, car les salles sont vraiment superbes avec des tas d'objets et potions qui donnent une juste idée des traitements du début du siècle.

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    Moderne l'Amérique ?

    Départ pour les plantations, on quitte facilement New Orleans, on trouve aisément la route, mais je loupe l'embranchement, quelques miles, demi-tour, et au milieu des pick-up rutilants, des trucks à double cheminée, sur des routes pas toujours bien entretenues, on découvre DESTREHAN PLANTATION que nous ne visitons pas, nous avons fait en France une trame de programme, excluant celle-ci.

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    La célèbre mousse espagnole parisite qui pousse sur les arbres et qui donne un aura de mystère

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    Bon on va la montrer quand même la voiture !

    Les CD tournent, les usines pétrochimiques gigantesques défilent, Kate nous fait du tourisme industriel en les photographiant, et SAN FRANSISCO PLANTATION est carrément au milieu d'un complexe industriel gigantesque, entouré de pipe-lines, de grillages. On imagine le scandale en France si on avait construit si près d'un monument historique. Elle est jolie cette maison avec ses pigonniers, et ses couleurs pastels, on prend la visite au vol, aië, cet accent du Sud qui oblige à être très attentif. De belles photos en grimpant sur les levées du fleuve qui masquent la vue de la demeure. 

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    Et après la jolie photo de la plantation, juste à côté

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    Et départ pour HOUMA PLANTATION, magnifiques arbres où courent des écureuils, la guide noire nous fait passer un merveilleux moment avec ses anecdotes, elle joue un morceau au piano, retrace la vie de l'époque, on peut photographier l'intérieur et on apprécie énormément l' heure passée dans cette superbe maison.

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                                                              Les écureuils sont partout

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    La musique de Warren Haynes nous amène à WHITE CASTLE où nous passerons la nuit. Superbe aménagement de la chambre, plutôt de l'espace de vie, avec des meubles "greek revival" , rocking chair sur la gallerie où on fume une cigarette en se balançant tranquillement. Les sirènes des bateaux sur le fleuve, le bruit sourd des longs convois de trains de marchandises ne troublent pas ces instants magiques, quand le soleil décline.....Nous dînons dans NOTTAWAY PLANTATION, et notre gîte est à 150 mètres de cette luxueuse demeure blanche. Nous avions retenu de FRANCE le repas, la serveuse est sympa mais (chose impensable en FRANCE) très cool, me tape sur l'épaule pour souligner une blague, puis panique un peu quand je lui demande un vin blanc dry américain, elle demande conseil à son manager et on se retrouve avec un vin ....italien correct par ailleurs. La cuisine est bonne, les portions toujours GIGANTESQUES....Promenade nocturne dans le jardin et autour de la maison illuminée, c'est tranquille, c'est beau, magique, un rêve d'Amérique éveillé....On s'endort toujours dans un lit gigantesque pour un repos bien mérité après un dernier balancement dans les rocking chair.

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