On quitte, toujours avec regret, New-Orleans, mais aussi, avec, au fond du cœur, la certitude que ce n’est qu’un revoir, que nous reviendrons dans cet endroit magique, où la musique coule à flot continu. Dire que les habitants estiment que l’offre musicale de leur ville est limitée !
USA BLUES 2016 - Page 2
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Sur la 61
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La route du blues
Après un petit déjeuner très américain dans le sens péjoratif du terme, et avant de reprendre la route du Nord, nous allons visiter la plantation Frogmore, toujours à Ferriday (elle était déjà fermé hier lors de notre visite au musée).
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The Spirits of Robert Johnson
En 2014, au même endroit, nous avions rencontré un peintre qui effectuait des repérages pour ses tableaux. Il nous avait dédicacé son livre de peintures et nous avions gardé le contact.
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Walking into Clarksdale
On y retourne de jour, incroyable comme le sol est saturé d’eau, les tombes sont peu entretenues, mais la légende est la légende !
Un petit arrêt à la station de radio WABG, on espère y trouver James Poe, le DJ ? mais c’est une autre voiture et à travers la porte on perçoit un enregistrement en cours.
On ne s’attarde pas, direction Clarksdale en passant par Vance pour John Lee Hooker.
Ce qui reste . John Lee Hooker
Des oies bernache en goguette
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Hill County Blues
Nous avons perdu une quinzaine de degrés depuis la Nouvelle-Orleans, ce matin nous choisissons de visiter quelques sites de blues que nous n’avions pas vus en 2014. Après une visite au musée d’Helena, consacrée aux batailles de la guerre de Secession, direction Hernando, les collines du nord, et son célèbre château d’eau qui orne une pochette des North Mississippi All Stars