Incontournable, la maison est sur toutes les cartes postales !
Encore une incontournable !
Il fait frais le lendemain matin, une file d’attente gigantesque au Café du Monde nous fait changer nos plans pour le petit déjeuner, nous allons au Camélia qui a changé de nom depuis notre dernière visite en 2012. L’ambiance est différente, moins folle.
Ensuite direction Music Factory, le temple des magasins de disques, mais la boutique est fermée ! Non, ouf, transférée, depuis le huit mars, sur Frenchmen à proximité de notre hôtel, le pire est que, dans ma poche, j’ai une page d’un magazine gratuit que j’ai déchirée, et qui mentionne ce changement.
Sur le chemin :
Il se transforme en voiture !
Nouvelle traversée du French Quarter, avec un retour dans le musée de la Pharmacie, fabuleux témoignage du début du siècle, puis arrêt/achat dans le superbe magasin de lanternes lui aussi repéré en 2012, on (re)passe devant le Café du Monde toujours bondé, mais on s’arrête saluer Hack Bartholomew. Ce trompettiste réputé est tous les jours devant le Café du Monde sauf le dimanche il est à la messe, car il est très croyant, et il joue pour les touristes. Je lui parle du reportage dans ABS Magazine, il en a reçu un exemplaire et est super fier ! Photos, achat de CD…
Musée de la Pharmacie
Les lanternes sont réalisées sur place
Le produit fini
Et Music Factory !
Un rêve pour l’amateur de musique, une surface de la taille d’une FNAC musique, consacrée uniquement à la musique de Louisiane. Une trentaine de stations d’écoute, des vendeurs cool et compétents, ce magasin est une exception que c’est bon d’y passer un long moment.
On en ressort les bras chargés, on dépose nos achats à l’hôtel et on repart dans la ville.Visite du Musée de la Ville à proximité de la cathédrale, avec une salle consacrée au musiciens de NOLA, puis le French Market, puis encore Frenchmen la rue qui devient très tendance avec beaucoup de clubs, et des boutiques délirantes. C’est un pur bonheur de retrouver cette ville qui a vraiment souffert, mais qui conserve ce fun, cette joie de vivre, ses magasins délirants, j’adore New Orleans, ce parfum unique qui monte du fleuve, ce groove particulier qui donne encore et encore envie de s’y promener.
Dans Frechmen et les fils qui pendouillent !
Arrêt obligatoire chez Pat O’Brien, pour récupérer un verre de Mint Julep (du coup on en a trois), et puis on dîne chez The Two Sisters, soi -disant un restaurant gastronomique, mais c’est bon sans plus et heureusement pas super cher !
Le bar des Two Sisters