Dernier jour à notre hôtel au bord de la mer on profite encore de la plage et de la piscine cette fois, avant de traverser de nouveau la ville pour visiter le Parc des Everglades.
La route est encombrée et nous traversons des zones commerciales immenses avant de parvenir à destination. Miami est une ville très étendue, avec des échangeurs nombreux et les routes sont souvent des deux fois 3 ou 4 voies.
Détour par la ferme des crocodiles mais nous ne la visitons pas, puis entrée dans le parc. Petite promenade à pied, on découvre quelques oiseaux, mais eu égard au bruit que font les Américains, qui comme toujours racontent leurs vies et en font profiter tout le monde, la faune est discrète.
Mauvaise idée, on démarre une autre promenade dans la forêt tropicale, là quasiment personne, enfin presque car une nuée de petits moustiques noirs passent à l’attaque et piquent dès qu’ils sont en contact avec la peau. L’anti-moustique est resté en France (très utile là-bas !) aussi nous rebroussons chemin, les piqures font de nombreuses cloques qui certes disparaissent rapidement mais tout de même irritent la peau.
Nous allons à Flamingo, au bout du parc, tout petit port perdu dans un bout du monde isolé et sauvage, nouvelle attaque des mosquitos, puis même pour satisfaire un besoin naturel, les sales bêtes passent à l’attaque et se ruent dans la voiture où nous parvenons à les exterminer. Non mais !
Retour à Miami, nous décidons de dîner au Rusty Pelican, situé en face des buildings de downtown, sur la petite île de Key Biscane, accessible par un immense et magnifique pont payant.
Nous demandons à être dehors, l’orage chauffe, nous commençons notre repas, quelques gouttes de pluie…Le serveur nous propose de rentrer à l’intérieur, non, non ce ne sont que quelques gouttes, heureusement il insiste et deux minutes plus tard un déluge de pluie et de vent balaie la terrasse. Excellent restaurant par ailleurs, dehors le parking est inondé et le déluge se poursuit.